Association CLI.M.A. 57-67-68
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mardi, le 10 JUILLET 2012
Lettre d'informations n°58 - CLI.M.A. 57-67-68


Nouveautés et informations sur l'association CLI.M.A. 57-67-68,
météo, climato et photo en Alsace-Moselle.


    1] Les dernières nouvelles...


Bonjour à tous, 

Le farniente est une merveilleuse occupation. Dommage qu’il faille y renoncer pendant les vacances, l’essentiel étant alors de faire quelque chose.

Pierre Daninos, Écrivain français

L’heure des vacances a sonné pour bons nombres d’entre vous et prochainement pour l’équipe de la rédaction, de ce fait vous retrouverez votre newsletter à partir du 10 septembre prochain.

Le comité vous souhaite d’excellentes vacances à toutes et à tous.


 

Les anniversaires du mois de juin et début juillet

Rémi le 20.06 d’Oudrenne (57)

Roland le 27.06 de Goetzenbruck (57)

Hervé le 06.07 de Wintzfelden (68)

Alex le 07.07 de Gries (67)

Très bon anniversaire à vous messieurs


 
    2] Fortes averses orageuses dans le Pays de Bitche le 12 juin


Les averses orageuses n’auront pas épargnées le Pays de Bitche ce Mardi 12 Juin 2012, en effet sous des cellules orageuses peu mobiles une lame d’eau assez impressionnante s’est déversée en peu de temps sur la station de Gros-Réderching. Entre 17H10 et 19H00, soit en moins de deux heures, la station a relevé un cumul de 43mm avec plusieurs pics d’intensités supérieurs à 100mm/h, pour être plus précis une intensité de 116.4mm/h a été relevée au plus fort de ces orages, soit vers 17H47. De la grêle de petite taille a également été observé pendant un cours instant. Suite à ces orages des coulées de boues, de gravats ainsi que des inondations, certes minimes, ont été signalés dans les zones basses du village mais d’autres communes du secteur ont été beaucoup plus touchées par ces intempéries orageuses.

Voir ci-dessous les articles parus dans la presse locale, pour info la station de Gros-Réderching se situe à seulement 1km à vol d’oiseau de la commune sinistrée la plus proche, c’est-à-dire Wiesviller.

Fabien

 


 

> Gros-Réderching et Philippsbourg touchés, à lire ici


 
> Le doyen de 89 ans avait de l’eau dans la cuisine, à lire ici

 
> Pluies diluviennes : trois communes inondées, à lire ici

 
    3] Les photos d'ailleurs...


Ca sent les vacances sur Clima, envoyez nous vos photos sur le site dans la rubrique « Photographie d’ailleurs… »

Le coup de cœur de la rédaction

Un bon bain, photo de Vonguckel à Saint Laurent le Minier (Gard) le 20 juin à 12h00

 


 
Le phare du Hourdel, photo de Jean Beck à Cayeux Sur Mer (Somme) le 19 juin à 15h20

 
    4] Un mois de juin normal à Haegen (67), le bilan !


Juin 2012 est avec 18,6° de moyenne générale tout près de la moyenne de 18,3° pour un mois de juin (période 1986-2012, pour la période  1961-1985 ce n’était que 16,2°!); cette moyenne est très proche également  des 18,8° de juin 2009 et juin 2011. Les records sont juin 2003 (23°) et  juin 1971 (14,4°) ; juin 1972 et juin 1985 avec  14,5° étaient bien frais également ! Mon minimum absolu a été de 8,5° (records 3° en 1962, 1975 et 1976 ; 12,1° en 2003), le maximum absolu  a atteint 31° (records 35,7° en 2002, 26° seulement en 1971).   

 

Il y a eu :

- 8 jours d’été, 3 de moins que la normale (records 28 en 2003, 21 en 1976, 3 en 1971) 

-2 jours de canicule (moyenne 2, records 10 en 1976 et en 2003, 9 en 2005, aucun à 15 reprises la dernière fois en 1999)  

-5 jours d’orage : c’est la moyenne, (records 11 en 1970 et 2007, aucun en 1962!)

19 journées ont été (plus ou moins) pluvieuses (moyenne 13, records 22 en 1980, 1987 et 1991, 3 seulement en 1962 et 2000); le total des précipitations a été de 79mm (moyenne 61mm depuis 1993, records 185mm en 1997 et 17mm en 2000); mon déficit pluviométrique pour l’année 2012 se comble progressivement (il est encore d’environ 25%), mais comme les orages m’évitent souvent, il est largement comblé  en de nombreux endroits.

Charles


 
    5] L'évolution des surfaces de neige et de glace


Je ne sais pas de quel bois sera fait l’été, mais comme je suis optimiste, et vous aussi je le pense, je tablerai sur un temps plus chaud que d’ordinaire, par moments orageux,  en tout cas quelque chose qui ressemble à un été digne de ce nom ! Pour compense les calories apportées par notre bel astre du jour qui sera plus que radieux, je vous propose un article rafraîchissant à défaut de vous envoyer par mail quelques glaçons pour vos boissons ! Il s’agit des neiges et des glaces permanentes qui recouvrent une partie de notre planète !

 

D’après un rapport du GIEC, les zones couvertes de neige ont diminué de 10% depuis les années 60 et dans notre hémisphère les lacs et les rivières gèlent  2 semaines de moins qu’auparavant. Plus nettes sont les surfaces gelées de la mer qui ont perdu environ 40% de leur taille depuis les années 50 mais cela s’est à peu près stabilisé depuis les années 70, si on ne compte pas la banquise qui est un élément très instable. Si les quantités de glace du Groenland semblent diminuer ce n’est qu’à cause des glaces qui s’amincissent le long des côtes, ailleurs l’épaisseur ne se modifie guère sur l’île. Quant à l’Antarctique qui est un immense continent les masses de glace deviennent plus importantes à l’ouest alors qu’elles diminuent sur la face nord… en somme la masse globale de glace ne semble pas régresser du tout au pôle sud.

Par contre on peut dire sans se tromper que les glaciers de notre bonne vieille Terre ont nettement reculé ; par exemple, l’un des plus grands glaciers des Etats-Unis qui se trouve dans le Montana n’a plus que 1/3 de la glace qu’il charriait en 1850, date, il est vrai, de la fin de la dernière oscillation froide de notre climat , improprement appelé « refroidissement climatique », qui a duré 3 siècles ! Certains spécialistes pensent que ce glacier pourrait bien disparaître dans 30 ans. Un autre exemple frappant c’est le célèbre glacier africain au sommet du Kilimandjaro à 5895 m d’altitude : il a diminué de 82% depuis 1912 mais semble reprendre du volume ces dernières années. ; mais à cette altitude où il gèle continuellement ce n’est de toute façon pas le réchauffement climatique qui est en cause, mais l’ensemble des systèmes nuageux qui alimentent ce glacier qui évoluent également…. Là aussi des spécialistes pensent que ce glacier pourrait disparaître dans les 15 ans. En fait le recul des glaciers est quelque chose qui s’est généralisé,  et ceci même dans l’Himalaya !


 

La régression des ces glaciers qui constituent une réserve d’eau importante qui alimente de nombreux cours d’eau qui seraient à sec sans eux une partie de l’année, pose donc de sérieux problèmes pour l’avenir ; en effet, en cas de disparition de l’un ou l’autre glacier, notamment sous les latitudes les plus chaudes, des zones entières de notre planète risqueraient de souffrir de la sècheresse, surtout en été ou lors de la saison sèche. Heureusement, les glaciers les plus gros ne risquent pas de fondre totalement : le glacier de l’Argentière dans les Alpes, même s’il a perdu 850 m de longueur n’a pas vraiment minci puisque son épaisseur n’a régressé que de 15 m. De toute façon la hausse globale de la température n’est pas la seule cause de cette régression observée qui s’est accélérée depuis 1982 :  ce sont des phénomènes bien plus complexes parfois difficiles à cerner  qui sont le plus souvent liés à des zones spécifiques ; ainsi des scientifiques pensent que le phénomène El Nino qui concerne l’Océan Pacifique est actuellement responsable de la fonte rapide des glaciers andins qui sont des glaciers tropicaux très sensibles à la moindre oscillation climatique : d’ailleurs ils ont de nouveau avancé de 20 à 40 m ces dernières années, alors…..

Si on prend le temps de faire un tour du monde des zones glaciaires on se rend compte que les glaciers de Norvège et de Nouvelle Zélande augmentent leur masse (pas leur longueur forcément) depuis 20 ans !!! Puis depuis ces dernières années ceux qui se jettent dans l’Océan se mettent à reculer davantage ! Eh oui, c’est bien le cas du Groenland où la masse de glace semble progresser alors que les glaciers maritimes régressent  nettement! De toute façon la trace de l’activité humaine dans ce domaine n’est pas du tout perceptible quoi qu’en pensent certains et nos vieilles glaces continuent d’évoluer comme elles l’ont fait par le passé selon des modalités que nous avons bien du mal à analyser et à comprendre, une chose est sûre, cela se déroule dans le cadre d’une évolution tout à fait naturelle !

Jean Beck

D’après « Un nouveau climat » Ed La Martinière


 
    6] Eté pourri


Le drapeau noir flotte sur les jardins et les vergers : fraises abîmées, rares cerises juste bonnes pour les oiseaux, roses esquintées avant même d’être ouvertes, haricots plus riches de feuilles que de fleurs, tomates en grand danger de mildiou… En revanche, les chardons, pissenlits, liserons, pourpiers et autres mauvaises herbes se portent à merveille, merci pour eux, d’autant que les averses incessantes ne laissent guère le loisir de les arracher. « On ne pouvait pas attendre autre chose d’une année bissextile, grogne mon frère dont les vergers ont souffert du gel d’avril. Ce sont toujours des années de rien. Avec toute cette flotte, les fraises ont pourri et, maintenant, il faut tendre le dos avec les orages : à côté, ils ont eu de la grêle le 21 en guise de musique, et tout ce qui n’était pas gelé y est passé. »

Vous l’avez peut-être remarqué, en ce début d’été pourri, on n’entend plus parler de réchauffement climatique. La tendance serait plutôt à en revenir aux vieux dictons : « Vous avez vu, me dit un voisin, il a plu à la Saint-Médard et Saint-Barnabé ne lui a pas cassé le nez puisqu’on a eu des averses ce jour-là ! » Non, je n’avais pas vu, même si Médard et Barnabé figurent toujours au calendrier alors que tant d’autres prénoms, pourtant plus usuels, ont disparu corps et biens. Mais de toute façon, comme il a plu quasiment tous les jours… N’empêche que si l’on calcule, quarante jours de pluie à compter du 8 juin, cela nous emmène quand même jusqu’au 18 juillet ! Déjà qu’on n’a pas pu mettre le nez dehors le jour de la Fête de la Musique et que nul ne s’est risqué à organiser un feu de la Saint-Jean… Sans parler des barbecues : pas question de s’attarder sur la terrasse dans la douceur du soir. D’ailleurs, dans les assiettes, la raclette serait plus appropriée que les brochettes !


 

Alors que s’achève ce mois de juin frustrant, les journées vont commencer à décroître. Fichue saison, qui aura tout de même eu un mérite : recharger les nappes phréatiques. Surtout les nôtres, soit dit en passant, qui n’en avaient pas un besoin urgentissime. Car, vous l’aurez remarqué, dans le Midi, le soleil brûle de tous ses feux. Là-bas, ils sortent les shorts et les robes bain de soleil tandis que, chez nous, on rallume le chauffage et l’on garde les pulls à portée de main. Voilà qui ne va pas arranger l’image de marque de notre malheureuse région.

Mais trêve de morosité ! Alors que j’écris ces lignes, il n’a pas plu depuis douze heures au moins et le fils de ma voisine est en train de tondre mon gazon. Il paraît même que l’on pourrait avoir cinq jours de temps presque normal, avec des températures de saison ! Tellement de saison, même, qu’une nouvelle dépression pourrait pointer son nez, devinez quand ? Pour le week-end, bien sûr !

Et dire que l’eau manque dans des dizaines de pays où rien ne pousse, et où l’on continue à mourir de faim. Ah ! Si l’on pouvait envoyer des concentrés de nuages sur le Sahel !

Monique HECKER (7 hebdo)

Jean-Luc


 
    7] Le ciel dans tous ses états (suite)


Les éclairs et la foudre

Observation :

Il s'agit de décharges d'étincelles pendant un orage. Leur sillage lumineux, de forme souvent bizarre, a une plus ou moins grande extension. Les éclairs forment des lignes simples ou ramifiées, allant de haut en bas ou de bas en haut. Certains éclairs se présentent seulement comme des illuminations des couches de nuages. On observe même des éclairs en chapelets, mais rare est la foudre "en boule" qui apparaît près du sol. Cette dernière se produit fréquemment après de forts coups de foudre pendant les orages particulièrement violents.


 

Physique :

Les éclairs sont des décharges électriques, produites par des champs très intenses, lesquels sont formés dans les nuages orageux. La différence de potentiel en jeu peut atteindre plusieurs centaines de millions de volts. On estime que l'énergie dépensée lors d'un éclair est en moyenne de 100 kilowatt-heure, mais l'équilibre se rétablit très rapidement, la plupart du temps en 50 secondes. En outre, l'intensité du courant atteint 100 000 ampères. La forme la plus fréquente d'éclair est linéaire, la forme diffuse n'en étant que l'apparence indirecte par éclairement indirect des nuages. Les éclairs passent par un "canal", ce qui explique, quand celui-ci est irrégulièrement interrompu, les éclairs en chapelets. Quant à la foudre en boule, on n'a pas pu encore lui donner d'explication satisfaisante. On a parlé à son sujet de nuages de poussières électrisées et de la combustion prolongée d'air et de carbone, ou encore de masses de gaz ionisés, devenues lumineuses dans un canal d'éclair. Les éclairs qui tombent sous forme de foudre à la surface de la terre sont peu nombreux par rapport à l'ensemble; on n'oubliera pas que la foudre peut aussi monter de la surface terrestre aux nuages. Les coups de foudre sont constitués par des éclairs de faible intensité mais dont le courant dure longtemps. Les éclairs très courts sont dits "froids", bien que leur température instantanée soit de plusieurs dizaines de milliers de degrés. Le temps de la décharge est trop court pour que les matériaux frappés puissent être portés à l'incandescence.


 

Météorologie :

Les éclairs ont lieu aussi bien lors des orages de chaleur, que lors des orages accompagnant des "fronts". On n'entend pas le bruit du tonnerre lorsque l'orage est suffisamment éloigné, mais on peut encore observer très loin la lueur des éclairs à l'horizon. L'observation selon laquelle la pluie ou même la grêle tombent de façon particulièrement drue après un éclair peut aisément s'expliquer. Les grosses particules de glace et les grosses gouttes de pluie, justement, ne sont plus retenues en l'air par le champ électrique après une décharge, mais tombent rapidement. Il y a aussi, lors des grandes chaleurs, des orages de chaleur, secs, la pluie étant volatilisée pendant sa chute par des masses d'air chaud et n'atteignant pas le sol. Mais où la foudre a-t-elle le plus de chances de tomber ? La conductibilité de la surface terrestre joue un rôle, le sol humide étant plus conductible humide que sec. En outre, les arbres et les bâtiments élevés sont plus sujets à être frappés (à cause de la colonne ionisée qui s'en enlève). On est par ailleurs relativement en sécurité dans la coque métallique d'une automobile ou d'un bateau.

Prévisions :

Les violents éclairs laissent prévoir de fortes précipitations pendant les orages. Les éclairs de chaleur à l'est ou au nord-est n'annoncent pas d'orage où on les observe. Les éclairs de chaleur survenant au cours des hautes pressions du plein été font présager un orage d'été sur place, mais une nette détérioration du temps n'est pas à craindre.

Extrait du livre ''Guide de la météorologie'' par Günther D.Roth et Alain Gillot-Pétré

Fabien


 
    8] Les photos du mois de juin retenues par le jury


Le temps capricieux du mois de juin conjugué à l’absence remarquée du plus fidèle reporter des Vosges du Nord, n’ont guère incité nos photographes à étoffer la galerie du mois dernier, puisque l’on ne dénombre que 25 prises de vue dans le ciel Alsacien et Lorrain.

Jean-Luc


 
1) Belle journée bien ensoleillé, lieu Illkirch-Graffenstaden le 10/06/12 à 16h20 auteur René du 67

 
2) Ciel rouge, lieu Duppigheim le 07/06/12 à 06h10 auteur René du 67

 
3) Peu nuageux, lieu Blaesheim le 08/06/12 à 16h30 auteur René du 67

 
4) Temps très agité, lieu Wimmenau parc des Vosges du nord le 11/06/12 à 16h00 auteur Jean Beck

 
5) Encore pas mal de cumulus, lieu Wimmenau parc des Vosges du nord le 01/06/12 à 16h20 auteur Jean Beck

 
6) On profite du soleil, lieu Wimmenau parc des Vosges du nord le 02/06/12 à 15h50 auteur Jean Beck     

 
    9] Bilan climatologique du mois de juin dans nos régions


UN DEBUT D’ETE BIEN TIMIDE

Beaucoup de déceptions durant ce premier mois de l’été météorologique où le beau temps n’aura jamais réussi à s’installer durablement. Au bilan final, nous retiendrons un ressenti assez mitigé car souvent trop humide et instable, en manque de soleil plus évident en Lorraine et avec des températures en dents de scie. Il en résulte une première quinzaine globalement fraiche, sans véritable chaleur estivale durable, le tout ponctué, à quelques exceptions près, quasi-quotidiennement par de fréquentes averses ou des orages localement violents. Un léger mieux est intervenu vers le milieu du mois, surtout côté températures, côté ciel nous avons gardé cette alternance de journées nébuleuses, humides et rafraîchies avec d’autres moments plus agréablement ensoleillés et surtout plus chaud avec même un soupçon d’été bien sensible en toute fin de mois. Malheureusement, dans un climat tempéré comme le nôtre où s’affrontent différentes masses d’air, ce va-et-vient sans cesse s’est soldé une fois de plus par de fréquents orages qui auront de nouveau fait parler d’eux dans la presse et les différents  médias.  


 

TEMPERATURES : 

Malgré ce temps très contrasté et changeant, au final les températures sont légèrement excédentaires ce mois-ci, avec une anomalie plus significative en plaine d’Alsace. D’après la période de référence 1981/2010 la température moyenne, issue d’un panel de plusieurs stations de notre région, devrait se situer entre 15.9 et 17° selon les secteurs. Ce mois-ci dans nos stations situées en région de plaine, la température moyenne varie entre 16.6° et 19.3°, soit un excédent moyen de  1.5° par rapport à la normale.La température minimale absolue a été relevée par notre station de Provenchères-sur-Faves (88) à 400m d’altitude  avec 4.2° le 10. En région de plaine, la température minimale absolue a été relevée à Jarny(54) avec 4.5° le 5 suivi par Wimmenau (67) avec 5.3°La température maximale absolue a été relevée à Kintzheim(67) avec 33.9° le 29 suivi par Gries (67) avec 31.5° La température minimale la plus élevée a été relevée à Kintzheim(67) le 29 avec 20.4°. La température maximale la plus froide revient à Jarny(54) avec 14.9° relevé le 13.


 

PLUVIOMETRIE : 

Les cumuls pluviométriques sont une nouvelle fois très variables d’une région à l’autre, selon la trajectoire et l’intensité des nombreuses averses orageuses. La normale pour un mois de Juin devrait se situer entre 76 et 107mm selon les secteurs. Ces cumuls évoluent ce mois-ci entre 49.9mm à Kintzheim(67) et 147.4mm à Réding(57).


 

ENSOLEILLEMENT : 

Seul deux de nos stations ont relevé une durée d’ensoleillement ce mois-ci, ces deux stations se situent en Moselle. Ainsi nous avons 170 heures pour Réding et 204 heures pour Sarrebourg. L’ensoleillement moyen d’un mois de Juin devrait osciller entre 192 et 202 heures. Tout le monde aura constaté le manque évident de soleil durant ce mois de Juin, même si certains secteurs ont été un peu privilégiés, notamment l’Alsace.


 

AUTRES  STATISTIQUES  ABSOLUES  ISSUES  DU  RESEAU  CLIMA :

Nombre de jours avec précipitations : 20 jours à Réding et à Gros-Réderching(57)

Quantité maximale de précipitations en 24 heures : 45.4mm à Gros-Réderching(57) le 12

Nombre de jours avec neige : Nm

Nombre de jours avec grêle : 3 jours à Gros-Réderching (57)

Nombre de jours avec orage : 8 jours à Wimmenau, Gries et à Niederbonn les Bains (67)

Nombre de jours avec brouillard : 5 jours à Wimmenau(67)

Rafale de vent maximale : 70.8km/h à Jarny (54) le 21 

Pour Rappel :

L’ensemble des chiffres utilisés pour ces statistiques mensuelles sont issus d’un panel de multiples stations en Lorraine et en Alsace, notamment celles du réseau CLI.M.A, mais également d’autres stations amateurs ainsi que certaines stations du réseau de Météo-France. Seuls sont pris en compte les différents chiffres et statistiques des stations qui ont posté un mois complet de relevés.

Merci de votre compréhension.

Fabien 

 


 
    10] Remerciements


Un grand merci en ce milieu d’année à toute l’équipe qui œuvre tous les mois pour vous proposer un journal complet et de qualité, il en va de même pour le jury photos.

Contact rédaction > jl.feltmann@meteo-reding.com